Philip J. Cook, Susan T. Parker, et Harold A. Pollack on interviewé des criminels détenus au Cook County Jail. Leur première trouvaille était que les criminels se fournissent en armes à feu depuis leur “réseau social”, c’est-à-dire des amis ou des personnes connues par eux, mais généralement pas des différentes sources légales à leur disposition.
Ils n’achètent pas d’armes à feu dans les armureries. Ils n’achète pas d’armes à feu dans les salons d’exposition d’armes à feu. Ils ne les achètent pas sur internet. L’étude a même découvert que les criminels volent rarement des armes à feu.
Cook et ses collègues ont aussi découvert que les criminels n’achètent pas souvent des armes à feu sur le marché courant, car ils ont peur d’acheter une arme à feu d’une source qu’ils ne connaissent pas. Peur des enquêtes policières, ou d’être dénoncé par un citoyen respectueux des lois les mènent à obtenir des armes à feu de sources en lesquelles ils ont confiance, le plus souvent, la famille, des membres amis du gang, ou d’autres criminels. Ils ont aussi découvert que les criminels ne gardent pas les armes à feu sur une longue période, ayant peur qu’une arme à feu puisse être reliée à un crime spécifique.
Les trouvailles sont claires. Les criminels ne s’engagent pas dans des activités qui pourraient les exposer à aucune sorte de contrôle d’antécédents ou aucune autre proposition habituelle mise en avant par la foule des anti-armes. Comme d’habitude, l’étude montre que les lois et régulations n’ont d’impact que sur les honnêtes citoyens.
Donc qu’en ont conclu les chercheurs ? Si vous pensiez “l’évidence” vous serez déçu.
Ils ont conclu que puisque les criminels ne possèdent pas des armes à feu pendant longtemps, “perturber” la chaîne des fournisseurs aurait un effet positif sur l’utilisation criminelle des armes à feu. Ca semble être une une conclusion salutaire davantage motivée par le bon-sens qu’aucune autre étude commandée à un centre d’études. Mais comment cette “perturbation” peut être accomplie n’est pas détaillé ni suggéré.
They concluded that since criminals do not hold guns long, “disrupting” the supply chain would have a positive effect on criminal gun use. That seems like a safe conclusion driven more by common sense than any evidence from an expensive academic study. But how this “disruption” can be achieved is not spelled out or suggested.
Bien sûr, les auteurs refusent d’offrir l’évidente conclusion que beaucoup dresseront de leurs résultats : alourdir les contrôles d’antécédents n’aura aucun impact sur l’acquisition criminelle des armes à feu. Puisque ces criminels n’utilisent pas les armureries, salons d’exposition ou même les reventes privées, il n’y a aucune raison de changer quoi que ce soit en rajoutant un contrôle de plus.
Mais ces chercheurs n’ont pas pu admettre cette criante vérité.
Au lieu d’admettre que leur propre recherche argumente contre le but premier du gouvernement anti-armes actuellement en place — alourdir les contrôles d’antécédents — les auteurs révèlent leurs préjugés.