Les fêtes et vacances de fin d’année sont des moments familiaux et festifs privilégiés. C’est l’occasion de se retrouver avec les êtres chers autour d’un bon repas, de faire le point sur l’année écoulée et de parler de nos désirs ainsi que de nos bonnes résolutions. Des moments de partage heureux.

Toutefois, en ces temps difficiles, il n’est pas exclu qu’on aborde par accident au détour d’une bûche de Noël, ou d’une bière lors du choix du quartier où aller danser pour la Saint Sylvestre, des sujets qui fâchent avec Tonton-Qui-Sait-Tout ou Noémie-Qui-Vous-Plaît-Bien.

Joyeux et confiant vous vous oubliez et expliquez à l’occasion de la discussion vouloir avoir les moyens de vous défendre.

Et là, c’est le drame.

Tonton-Qui-Sait-Tout s’étrangle et, malgré le chocolat collé dans sa fosse nasale, arrive toutefois à s’écrier : « Tu n’y penses pas ! Tu veux que ça finisse comme le Farwest aux États-Unis ? Je te croyais quand même plus intelligent que ça ! »

Noémie-Qui-Vous-Plaît-Bien, elle, après avoir difficilement tenté de cacher son effarement pendant 2 longues secondes et de contenir son indignation pendant 2 autres, encore plus longues, tranche : « C’est pas le quartier qui me fait peur : c’est toi. »

Vous voilà donc catalogué « Fêlé de la gâchette ». Si ce n’est encore pire, ou surtout encore plus grotesque.

« J’ai tout gâché ! » pensez-vous ; l’ambiance est plombée et vous maudissez l’ARPAC avec ses idées asociales.

Pas – de – panique ! Nous vous rappelons que avons dans nos tiroirs l’explication probable de leur réaction, la marche à suivre pour la désamorcer et ainsi sauver votre soirée :

De la furie contre l’auto-défense

 

Bien sûr, n’en attendez pas des miracles -quoique, la période est propice- mais avec un peu de patience, de la bienveillance et ces bons conseils, vous arriverez probablement à faire comprendre que vous aimeriez que les êtres qui vous sont chers puissent se défendre.

Bon Noël à tous !